environs de Targu Mures, Transylvanie, août 2010
« Tout réside tellement dans les idées qu’on s’en fait, dans un certain pouvoir oblique de suggestion équivoque, dans la spéculation effrénée sur la faim qu’a l’homme d’inventer, de croire, de bâtir le compliqué, le pervers, le ténébreux. Mais c’est là ce qu’il y a d’angoissant, de tragique. C’est là que se noue le piège et que s’abrite l’assassin aux mains pures, aux mains, je ne crains pas de ne le dire, immaculées. » (Un beau ténébreux, Julien Gracq)