Forêt de Marsanne, Drôme, octobre 2011
Il n’y a pas de bon chemin. Il n’y a que des surprises.
« C’était à peu près le milieu du matin. Je pris mon sac de montagne. Je descendis à la cuisine. Il n’y avait personne. J’ouvris le placard. Je taillai un morceau de gruyère dans le quarteron. Je pris une demi-michette dans la corbeille à pain et je laissai sur la table un billet : ne m’attendez pas pour déjeuner, je suis dans la forêt jusqu’à ce soir ». (Rondeur des jours, Jean Giono)