Chau Doc, Vietnam, août 2012
Je salue la grande gentillesse de tous les gens, jeunes et moins jeunes, croisés au fil du voyage qui ont bien voulu se prêter au jeu du close-up. Un pays dont j’apprécie de plus en plus ce qu’il m’en a laissé de réflexions et de sensations, fussent-elles tardives : il n’est jamais trop tard pour aimer, tant qu’on ne regrette pas tout ce temps écoulé.