Amed, Bali, août 2013
L’eau qui se craquelle pour laisser passer la nuit. Elle la retiendra dans ses mailles gonflées de rêves.
La mer comme un drap qu’on remonte sur les épaules du voyageur assoupi. La mer comme l’impression de remonter le cours de sa propre existence, d’atteindre la vie où elle n’était qu’universelle fluidité.