Santiago de Cuba, août 2015
Ils m’ont accordé leur gentillesse, leur patience parfois quand l’ambiance des rues rendait la prise difficile. Ils m’ont surtout offert leur beauté, et aussi une intensité mélancolique souvent en décalage avec les rythmes de la salsa qui filtraient à travers les portes. Et je ne sais pas s’ils ont pleuré la disparition de David Bowie.