Il faudrait se souvenir de tous ceux qui ont croisé notre regard sans s’être échangé un seul mot. Car c’est peut-être dans les yeux du silence que brille la clé du monde. A l’abri des mots, les visages sans parole font triompher l’intuition d’un coeur universel. Les yeux dans les yeux, je t’invite à le croire, nous sommes tous du même rêve.
Birmanie, train de Kalaw au lac Inle, août 2016