Modus vivendi des derniers jours enrhumés : plongé dans la philosophie du doute, je guette une pensée de repères. La forêt me suggère le parchemin de ses lichens séculaires pour connaître les secrets de la sagesse et de la distanciation, mais ses troncs obèrent vite l’effet de perspective. Alors je renoue comme la branche maîtresse d’un chêne avec les sillons caverneux de l’irrésolution. Jusqu’au prochain pic de soleil qui m’aidera peut-être, fortune du printemps, à percer quelques menus mystères à la sauvette, sur un tapis de champignons.