Moldovita, Bucovine, juillet 2010
On ne boudine pas avec l’amour, alors merci ! Merci à vous, fidèles du pâté de maison, qui m’avez accompagné de port en porc tout au long de ces douze derniers mois. Merci aussi aux mécréants tire-bouchonnés, aux kafirs à gros groin, aux ingénues saucisses, aux dissidents de la bauge et aux odorantes andouillettes, puisqu’il faut de tout pour faire une (belle) terrine. Je vous souhaite à tous d’heureuses festivités prandiales. Pensez à prier le saindoux pour les mésanges. Et rendez-vous en 2011 pour d’autres salaisons.