Uda Walawe National Park, Sri Lanka, juillet 2011
Je vis tout au nord de son amour, dans un repli oublié des cartes. Aucun chemin n’y vient. Juste le vent pour distraire les branches, quand les oiseaux fatigués de chanter pour rien vont se dissoudre dans le ciel antique. Juste le vent qui me hèle de partout, et c’est aussi un chant pour vivre.
« On ne reste jamais longtemps devant soi, pour autant qu’on y parvienne. »(Antoine Emmaz, Lichen, lichen)