Camaguëy, août 2015
Les enfants du monde sont le miroir des jours d’ici : ils nous jettent au visage une curiosité méfiante, ou alors un bref rictus moqueur. Comme s’ils savaient d’instinct que nous sommes venus leur voler les sourires qui nous manquent, et tandis que nous avons déjà mis le feu au ciel.